Comment as-tu débuté votre carrière de recruteur ?
Tout a commencé lorsque j’ai obtenu un stage dans le département des ressources humaines d’une entreprise automobile.
Mes tâches initiales ne comprenaient pas le recrutement, mais plutôt des tâches administratives et de support aux autres départements. Cependant, plus je m’immergeais dans le travail et assimilais les connaissances de mes collègues, plus mon intérêt pour comprendre le fonctionnement interne du département des ressources humaines s’affirmait.
Ma curiosité s’est surtout portée sur le processus de recrutement : de la recherche initiale de candidats aux entretiens finaux. J’admirais la confiance et l’assurance dont mes collègues faisaient preuve pendant les entretiens, ainsi que leur capacité à trouver les bonnes questions pour révéler les compétences et les faiblesses de chaque candidat.
Au fil du temps, ma confiance en moi s’est renforcée et j’ai décidé de poursuivre cette profession passionnante. Je me suis mise à poser constamment des questions, à faire des recherches et à apprendre autant que possible sur l’art du recrutement. Ma détermination n’est pas passée inaperçue et mon mentor m’a donné l’occasion de participer à des processus de recrutement plus importants.
En fin de compte, j’ai pu mener mes propres interviews. Même si, surtout au début, je dois avouer que j’avais les nerfs à fleur de peau, je me suis lancée à corps perdu. Malgré les échecs initiaux, j’ai persévéré et, au fil du temps, je me suis améliorée.
Comment as-tu su que tu voulais devenir recruteuse ?
J’ai découvert que ma passion était de déceler le potentiel de chaque personne que je rencontrais, de les comprendre de connaître leurs motivations, leurs philosophie, leurs convictions, et d’entrer en contact avec eux sur un plan plus humain.
J’aimais rechercher l’adéquation parfaite entre les candidats et les clients, et découvrir ce qu’ils pouvaient s’apporter l’un à l’autre.
Aujourd’hui, des années après ces débuts incertains, je continue d’apprendre et de progresser dans cette profession que j’aime tant. Chaque jour, je suis reconnaissante de l’opportunité qui m’a été donnée de débuter cette carrière enrichissante.
Quels qualités posséder pour être un excellent recruteur ?
L’empathie est la clé.
Traiter les candidats avec proximité et bienveillance tout au long du processus leur permet de se montrer sous leur meilleur jour et augmente considérablement les chances de trouver le candidat idéal. De plus, la transparence est primordiale.
Fournir un feedback constant et tenir le candidat informé du processus renforce la confiance mutuelle et démontre un certain professionnalisme, ce qui est essentiel pour être un bon recruteur.

Quelles sont les compétences nécessaires pour être recruteur ?
Je dirais que les compétences interpersonnelles sont essentielles.
Identifier les qualités des candidats au-delà de leur aspect professionnel nous permet de comprendre s’ils s’adapteront non seulement au poste, mais aussi à la culture d’entreprise et à l’équipe. Pour résumer, pour être un bon recruteur, il ne suffit pas d’évaluer les compétences techniques des candidats ; il faut aussi savoir entrer en contact avec les personnes et nouer des relations solides et durables.
Conclusion
C’est ainsi que Karen Romero a évolué dans sa carrière et a trouvé sa place chez Luxe Talent. Si vous aussi vous souhaitez développer votre carrière dans le recrutement, n’hésitez pas à nous faire part de votre candidature ; Luxe Talent est en constante expansion et nous souhaitons rencontrer les meilleurs talents qui rejoindront notre équipe !